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Ils ont rencontré John par ludovic METZKER

L’auteur : Ludovic Metzker

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« Ludovic Metzker voit le jour à Paris, le 28 juin 1974. Amateur d’histoire et de mythologie, l’auteur voue une passion pour la lecture grâce à des auteurs comme Boris Vian, Alexandre Dumas ou encore Bernard Cornwell et débute l’écriture d’un premier essai lors de ses 20 ans. Mais il commencera la création de son premier projet en 2013 avec la saga L’homme sans nom et la saga Et si demain n’existait plus ? Commercial dans la bureautique, ancien responsable d’achat dans le prêt-à-porter féminin, passionné d’informatique, de cinéma, l’auteur imagine des mondes qui se veulent novateurs tout en mélangeant les genres. »

Le livre : Ils ont rencontré john
La couverture : Magnifique couverture intrigante qui donne envie de se plonger dans ce thriller.
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Genre :
thriller
Nombre de pages : 333
Prix : Broché :
16.99 euros Numérique : 0.99 euros
Lien d’achat Amazon : Clic ici

 

Le résumé :

Je m’appelle Samantha, j’ai 16 ans. À mon journal intime, j’ai avoué être victime de harcèlement scolaire et de violence. Je lui ai révélé mes intentions qui font suite à ce drame qui a détruit ma vie.C’est ce jour-là qu’il est intervenu et qu’il m’a fait la promesse de me protéger.« Pour sauver Samantha, il va réveiller le démon qui est en lui »

Ma petite chronique :

Un justicier qui surgit hors de la nuit….
Son nom n’est pas Zorro, mais John, et croyez-moi il vaut mieux être son ami que son ennemi.

Samantha 16 ans, ado lambda sans problème voit sa vie tourner au cauchemar. Victime de harcèlement et d’agressions elle va se renfermer, s’isoler dans sa chambre ne se confiant qu’à son journal, se sentant incomprise par ses parents qui ne se rendent pas compte de son mal-être.

Sa vie n’a plus de sens jusqu’au jour où un mystérieux voisin vient s’installer en face de sa maison et la prendra sous sa protection.
Ce bel homme solitaire, toujours habillé d’un élégant costume intrigue la jeune fille. Encore plus lorsqu’elle va découvrir qu’il n’est autre que le proviseur du lycée qu’elle fréquente Luc Ferri.

Luc Ferri n’est pas un proviseur ordinaire, cachant un lourd passif qui l’a amené à signer un pacte avec Lucifer, son nom de code est John.
Il venge les innocents et punit les coupables. Il rétablit la justice dans cette petite ville corrompue où les voyous règnent en maîtres avec leurs trafics d’armes, de drogues et d’enlèvements de jeunes filles.

Double challenge réussi pour l’auteur qui passe du roman fantastique au thriller, et qui doit se mettre dans la peau d’une jeune adolescente meurtrie.
Il traite avec brio de fléaux de sociétés dont malheureusement on entend trop parler le harcèlement et la corruption.
Je suis depuis un moment les écrits de Ludovic Metzker et je dois dire que cet opus est un petit bijou de rebondissements et suspense dans lequel on ressent les recherches et l’investissement de l’auteur.
J’ai beaucoup aimé cette fiction et je vous invite chaleureusement à aller à la rencontre de John, mais attention seulement si vous avez la conscience tranquille.

« Seul un démon peut sauver un ange »

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Ma petite note : 10/10

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La proie par Céline De Rosa

L’auteure : Céline De Rosa

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Née en 1980, Céline DE ROSA fait des études linguistiques et commerciales (licence d espagnol, master de négociation internationale), puis prend le temps de voyager et s’essaie à divers métiers. Aujourd’hui elle est enseignante.

Passionnée de lecture depuis son plus jeune âge, c’est avec Marcel Pagnol et ses souvenirs d’ enfance qu’ elle fait ses premiers pas en tant que lectrice. Céline de Rosa est auteur d’un premier roman «Elle(s)».

Le livre : La proie

La couverture : Une couverture sombre bien choisie, pour une intrigue psychologique intense.

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Genre : Roman noir / Suspense
Nombre de pages : 208 pages
Prix : Numérique : 2.99 euros 

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Le résumé :

Sofia vient de perdre ses parents dans un accident de voiture. A l’aube de ses trente ans, sa bulle a éclaté. Elle est inconsolable. Méconnaissable.
Chaque personne détient une part sombre. Une fois celle-ci mise en lumière, à quel point peut-il être dangereux de l’exploiter ?
« Une question parfois me laisse perplexe : est-ce moi, ou les autres qui sont fous » Albert Einstein

Nul n’y échappe. Nul ne l’ignore.
Elle est inévitable. Sans cœur. Impitoyable. Elle ne sait se laisser attendrir par quiconque. Jamais elle ne fait de sentiments. Aucunement à court d’idées, toujours créative, d’une imagination sans bornes, elle est la plus talentueuse des artistes. Elle réserve un sort différent à chacun d’entre nous. Certaines fois, elle nous prend par surprise, sans prescription aucune. D’autres, elle nous inflige de longues souffrances, d’atroces maux qu’elle surveille du coin de l’œil. Puis vient le moment où elle se jette sur sa proie et applique la sentence finale. Ah, elle sait s’y prendre, celle qui règne en maître absolu sur le monde et l’au-delà.

Ma petite chronique :

«Tristesse, dépression, folie… Il n’y a qu’un pas !»

Un accident de voiture et Sofia perd ses parents avec lesquels elle a toujours vécu, toujours tout partagé. Son monde s’écroule, elle perd tous ses repères et sombre dans la dépression, s’isolant du monde. Elle survit à sa façon, jusqu’à ce que la psychose s’installe doucement.
Mais de la dépression à la folie, il n’y a qu’un pas. Mais qui est cette étrange voisine qui surveille ses faits et gestes dans un délire psychotique et la poursuit telle une prédatrice chasse sa proie !

Réussira-t-elle à faire le deuil de ses parents et reprendre une vie normale ?

Avec un certain talent, l’auteure nous fait vivre la descente aux enfers de son héroïne. J’ai été prise dans les méandres du chagrin de Sofia.
Les mots sont choisis, Céline de Rosa laisse planer une sorte de confusion qui interpelle le lecteur à se poser beaucoup de questions dont il n’aura la réponse qu’en fin de lecture.
Un livre très bien écrit avec du suspense et des rebondissements.
Les flashbacks sont gérés avec brio, l’écriture est fine et subtile.
L’auteure nous envoûte, les émotions sont troublantes, oppressantes. Avec une pointe de narcissisme on assistera à un dénouement complètement inattendu.
C’est une lecture bouleversante dont on ne sort pas indemne, car la perte d’un être proche est une situation commune à chacun d’entre nous. Je dois avouer qu’après ce roman ça fait peur !
Comment réagirions-nous face à un tel drame ?

Je remercie Céline De Rosa de m’avoir confié en service presse son dernier roman, «La proie». Je recommande ce roman psychologique à tous les amateurs de frissons et suspense.
À aucun moment le lecteur ne peut s’attendre au scénario dramatique proposé.

 

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Ma petite note : 10/10

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La tête du lapin bleu par Wendall Utroi

L’auteur : Wendall Utroi

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C’est tardivement que je me suis lancé dans l’écriture, aujourd’hui j’ai publié six romans, le dernier vient tout juste de paraître.

Investigateur dans un service judiciaire, instructeur en école de Police, j’ai rejoint une mission européenne en Afghanistan, en 2009 pour une année. Puis en 2012, je suis parti pour les Balkans, pour une seconde mission que j’ai terminée milieu 2014. J’ai profité de ces expatriations, pour mettre le mot fin à mon premier roman.

Quand j’écris, je me fixe trois objectifs :
– Ne pas m’ennuyer ni ennuyer le lecteur.
– Écrire en augmentant crescendo le suspense.
– Et surtout faire en sorte que le lecteur ne devine pas la fin.

Le livre :La tête du lapin bleu

La couverture : La couverture est magnifique et intrigante, en total rapport avec l’intrigue.

La bande annonce du livre : Clic ici

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Genre : Littérature française

Nombre de pages : 499 pages

Prix : Numérique : 3.99 euros  – Broché : 14.99 euros

Le résumé :

Quand l’amour terrasse Ava et Léo sur les bancs du lycée, et qu’un an plus tard, à l’approche de la naissance de jumeaux, ils convolent en justes noces contre l’avis de tous, on comprend que le bonheur peut être soudain. Les histoires toutes simples ne sont pas les moins belles. On s’aime, on se marie, les rires des enfants viennent peupler notre petit monde. Le bonheur n’est pas aussi exigeant qu’on le dit. Puis, avec les années, on pense que rien ne peut troubler notre quiétude, notre douceur de vivre.
Mais, c’est sans compter sur le destin. Lui peut se jouer de nous… brouiller les cartes, changer les règles. Vous pensez que rien ne peut vous arriver ? Et si vous vous trompiez ?

Ma petite chronique :

je remercie Wendall Ultroi pour la confiance qu’il m’a accordée en me proposant ce service presse.

Le malheur, ça fait fuir. D’abord les amis, puis la famille.

Ava est une femme heureuse. Un mari avec une situation professionnelle confortable, de merveilleux jumeaux qui illuminent sa vie, et pour continuer ce conte de fées, Léo lui propose quelques jours de vacances en famille. Rien ne pourrait assombrir ce bonheur et pourtant !

Un accident et la vie d’Ava bascule, la descente aux enfers d’une épouse, d’une mère qui a presque tout perdu et qui par le sentiment de culpabilité n’arrive pas à remonter la pente.
Comment réagir face à la perte de deux êtres chers et pire encore se rendre compte que l’homme avec qui on partage sa vie depuis des années est loin d’être le mari idéal que l’on croyait !
Rien ne lui sera épargné, et malgré le soutien de ses parents, Eva perdra complètement pied car la seule défense à cette souffrance insoutenable sont des accès de violence et des décisions inconsidérées et dangereuses. Elle devra être soignée devenant un danger pour elle et pour les autres.

C’est le deuxième roman que je lis de Wendall Ultroi et je retrouve le style fluide et subtil. Les mots sont choisis pour faire en sorte que le lecteur ressente les émotions des personnages qui sont authentiques et attachants. On ne peut qu’éprouver de l’empathie pour cette mère et ses parents déchirés par la souffrance de leur fille face à cette tragédie.
Dès les premières pages je me suis mise en mode lecture « apnée ».
Happée, envoûtée, les pages défilaient sans m’en rendre compte, impossible de fermer le livre.

Un défilé d’émotions, l’angoisse, la peur, la peine, la souffrance ou la colère nous percute de plein fouet comme si nous étions à la place de l’héroïne.
L’auteur entretient un suspense angoissant. On reprend notre souffle, on commence à respirer mais très vite un rebondissement nous coupe de nouveau la respiration.

Un roman émouvant, bouleversant où l’auteur aborde des sujets terribles, la perte de proches, les conséquences de la souffrance d’un deuil qui peut changer une personne, la reconstruction grâce à la volonté et l’amour d’une mère pour son enfant et l’aide d’un doudou, le lapin bleu.

Submergée par les émotions intenses j’ai terminé ma lecture en larmes et Wendall Ultroi a relevé le défi après m’avoir émue avec «Comme un phare dans la tourmente», je suis bouleversée par cette lecture.
Ce drame peut arriver à tout le monde, comment aurais-je réagi à la place d’Ava ?
Ma petite note : 10/10

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Effondrements par Guy MORANT

L’auteur : Guy Morant

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Guy Morant est un auteur belge vivant en France. Il a publié plusieurs ouvrages de jeunesse : Le sachet de bonbons et quatre romans du cycle Lucie Acamas. Depuis deux ans, il se consacre à la littérature policière. Son premier polar, Effondrements, est paru en mars 2018.

Ses autres écrits comptent un essai sur l’école, divers articles en ligne et dans la presse imprimée, plusieurs pièces de théâtre pour enfants qu’il a mises en scène, et les traductions de films documentaires, d’essais et de supports pédagogiques, au sein de mouvements liés à l’écologie pratique.

Maître d’école, Guy estime que les enfants lui ont appris à raconter des histoires. Écrire est pour lui un moyen de comprendre les autres. Chaque roman lui donne l’occasion de se documenter sur les sujets les plus divers et d’en apprendre un peu plus sur la vie de ses personnages et de leurs modèles.

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Le livre : Effondrements
La couverture : signée Matthieu Biasoto est magnifique comme toujours . Elle dénote le côté sombre et angoissant de l’enquête.

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Genre : suspense / Enquête de police (N° 1 au top Amazon au 22/04/18)
Nombre de pages : 499
Prix : Broché : 19.90 euros – Numérique : 2.99 euros

Prix d’achat amazon : Clic ici

Le résumé :

Deux pêcheurs autour d’un cadavre, la forêt de Rambouillet pour seul témoin. La victime n’est pas une jeune femme ordinaire, mais la fille d’un politicien sulfureux. Son corps a été littéralement broyé. Par quoi ? Par qui ? Pourquoi ? C’est ce que le groupe de la crim’ mené par Alaric Autier va tenter de comprendre, en huit journées d’une enquête sous haute pression. Entre mensonges et coups bas, on dirait que tout le monde a quelque chose à cacher, dans cette affaire où les existences et les destins menacent de s’effondrer.

Effondrements a pour décor les Yvelines cossues, où les policiers s’intéressent à un centre de formation survivaliste. Roman très documenté, proche du véritable travail d’un groupe de la police criminelle, il met en scène avec humour des personnages et des lieux s’inspirant de personnes et de lieux réels. Loin des clichés du polar, il place le lecteur en plein cœur d’une enquête soumise aux pressions de la hiérarchie et des médias.

Ma petite chronique :

Je remercie Guy Morant pour la confiance qu’il m’a accordée en me proposant son roman Effondrements par le biais du site SimPlement Pro.

Une enquête policière magistrale dotée d’une couverture magnifique signée Matthieu Biasotto dont le talent n’est plus à prouver.

Les recherches approfondies de l’auteur donnent un côté presque réel à la lecture.
La précision des scènes de crime, et autres recherches scientifiques, la description des lieux amènent le lecteur à s’immiscer dans l’enquête presque comme membre de la Crim’.
Les personnages sont bien travaillés et la documentation donne un aperçu très professionnel.

Le capitaine Alaric Autier de la Crim’ est chargé d’instruire une enquête qui s’avère très compliquée où de surcroît la victime est la fille d’un ancien député Pierre Vallée, protégé par la hiérarchie.

L’atmosphère est souvent lourde, et pendant les huit jours d’enquête intense on subit la pression morale, physique et psychologique de l’équipe de la Crim’.
Tout est si bien relaté, que le lecteur semble faire partie du décor ressentant chaque émotion retenant son souffle de peur de déranger pendant les investigations.

Le cadavre d’une jeune fille est retrouvé par deux pêcheurs, abandonné vers un étang peu fréquenté et dans un état effroyable. Le corps a littéralement été écrasé et déplacé des lieux du meurtre.
Le corps est confié à l’institut médico-social, où une autopsie détaillée révèlera que Marion Vallée reconnue par ses parents a subi une déchirure anale étant enfant, traces résultant d’un viol.
Son père accuse un certain Marivain. Ce dernier serait le « gourou » d’une secte sous le nom d’une association pour le mouvement « les survivalistes ».
L’auteur aborde un sujet complexe, utilisant dans son roman un regroupement de personnes aux croyances irrationnelles, se préparant à « l’effondrement ». Les adeptes du mouvement sont fragiles psychologiquement et influençables.

Mais ce mouvement ne cacherait-il pas un trafic financier sous couvert de gros bonnets politiques ?

Et la question demeure en suspense qui a tué Marion et pourquoi ?

Je conseille vivement ce roman policier psychologique digne d’une vraie enquête de professionnels.

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Ma petite note : 10/10

 

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